Deuxième jour à Lisbonne : Belem.
Endroit magnifique : El Monasterio De Jeronimos est splendide, tout blanc, allongé, brillant au soleil comme s'il se dorait la pilule.
Puis le monuments des " explorateurs", impressionnant, et "la Torre de belem", petite chose très jolie.
On passe la journée à visiter et à se promener dans le parc autour. On goûte les fameux " pastels de Belem", réputés à Lisbonne comme les tapas en Espagne ou les bourdes de Ségo en France.
Le soir, on sort au LUX, boîte quelque peu hyper branchouille de Lisbonne où on prend pleinement conscience de l'absence d'imagination et d'innovation de nos discothèques bordelaises qui se disent lounge et hype.
Sans être pourtant une fanatique acharnée des boîtes, je confirme que celle là convertirait plus d'un récalcitrant.
Terrasse avec vue sur la mer, dj au sous sol avec musique excellente, fauteuils et canapés immenses, genre Alice-aux-pays-des-merveilles-pour-de-vrai, vidéos sur écrans géants et boissons comprises dans le prix de l'entrée en boîte. Pas mal, pas mal.
On rentre à 9H00, heure de fermeture de la boîte, après avoir vu le jour se lever sur la terrasse.
Le lendemain, on se réveille vers 12HOO et passons l'après midi à la plage, avec un groupe de musique brésilienne en fond sonore. Bon réveil.
Le soir on est raisonnable, non c'est surtout qu'on était fatigué, et on se prépare une petite bouffe tranquille à l'appart.
Le dernier jour, on visite le Parc des expositions, lieu crée en 1998 pour l'exposition universelle avec des choses bizarres partout, un peu futuristes. Amusant de voir la différence d'architecture entre cet endroit et la vieille ville, si charmante et si délicate.
Après avoir bien profité, on se rend compte qu'on légèrement en retard sur l'horaire de départ qu'on s'était fixé...Le speed, le speed, le speed, je vous passe le taxi extrrrrrrêmement lent et empoté qui nous emmène, tant bien mal, à la gare et vous laisse deviner la suite.
N'étant pas vraiment habitué au fonctionnement portugais, on se rend compte sur place, que le train que nous avions prévu de prendre, consulté sur internet, n'existait pas !
Evidemment, aucune correspondance de Porto à Pontevedra. Bloquées. Heureusement, nous avons de très gentils copains Erasmus qui sont venus nous chercher à Valence, avec notre Armando national ! Et avons donc pu rentrer a casa en un temps records.
Enfin, voyage super. A refaire donc. Et puis je n'ai pas pris le vieux tramway.